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autopsie d'une famille je mène une lutte pour ma réhabilitation en tant que personne et en tant que citoyen, suite à une agression judiciaire dans laquelle juges et experts sont coupables de délits tout à fait caractérisés : faux témoignages, diffamations, harcèlement, insultes et mise en danger de la vie d’autrui. des députés de la commission « outreau » sont intervenus et ont obtenu au ministère la création d’un dossier susceptible de rouvrir ce procès à ce numéro : 200600034207. j’ai besoin de la protestation des citoyens pour obtenir cette réouverture et la compensation d’années de privation de la loi pour mes enfants et moi-même. je consigne toutes les démarches que je fais pour recouvrer ma dignité de citoyen. sous le titre « soutien » j’ai mis les lettres déjà envoyées. ← articles plus anciens 20 juillet 2018 transformation de la paternité j’adore la paternité. je l’ai désirée. j’ai fait mes enfants avec une femme qui s’est démis peu à peu de sa parentalité. cela m’a surpris, cela m’a déçu, mais qu’est-ce que je pouvais y faire ? les pouvoirs publics se sont emparés de ma vie, se sont emparés de moi, ont raconté des mensonges pour que je sois coupable de tous les désordres de la famille que j’ai fondée. je m’occupais des enfants? c’était coupable. selon le tribunal, je créais la démission de la mère de mes enfants et j’en étais coupable. pour obtenir cette idée « progressiste », ils ont menti, l’écrivant eux-mêmes : ils ont « postulé » que ma mère était dépressive. si la justice a le droit de prendre des décisions sur ses propres postulats, rejetant les faits narrés par l’entourage de la famille, alors pas de problème. ma souffrance est intense. je suis envahi sans cesse par la question « pourquoi m’ont-ils fait ça? pourquoi ont-ils fait ça à mes enfants ? » toutes les publications prétendent que ces choses changent (on me disait déjà ça quand les pouvoirs publics nous ont fait cela) augmentent ma souffrance, parce que je sais dans mon âme, dans mon corps que ce n’est pas vrai, que les juges sont capables de salir un homme qui s’occupe de ses enfants, que les juges sont capables de salir un homme qui a voulu des enfants, (ils en sont capables, puisqu’ils me l’ont fait). tous les refus silencieux de publier mon histoire et la violence gratuite que l’etat français a fait des citoyens, qui n’avaient fait de mal à personne et qui étaient et sont encore en droit de demander la cessation de la décision qui découle de ce postulat, de demander une compensation pour tant d’années de souffrance, augmentent ma souffrance. publié dans non classé | laisser un commentaire 17 juillet 2018 si les juges avaient craint de mal faire, ils ne se seraient jamais autorisés à ce qu’ils ont fait, volontairement, explicitement à mes enfants et à moi. la prétendue indépendance de la justice, qui est en principe la capacité à juger les élus et responsables politiques dans l’exercice de leurs fonctions est une illusion. les femmes et hommes politiques sont rarement jugés, reçoivent des condamnations faibles. pour mes enfants et pour moi, cette indépendance, qui est une insularité, qui est une indépendance des faits, des mots de la loi (la loi interdit la séparation des fratries… pas de problèmes, ils sont dans cette toute-puissance qui les leurre, très certainement, mais qui en non-conciliation, la juge a considéré « qu’il ressort du dossier que c’est le père qui s’occupe des enfants au quotidien ». j’ai eu la résidence sur cette remarque qui synthétise un dossier constitué d’une trentaine de témoignages, montrant que je menais les enfants à la crèche, à l’école, au conservatoire, à la piscine, à la danse, au cinéma, en vacances (y compris les grandes vacances, y compris tout seul chez mes beaux-parents sans ma compagne, leur mère), chez les médecins quand il le fallait… (cf l’attestation que j’ai tapée le 10 juillet 2018. il y avait 3 attestions de mères. normalement, ce sont les citoyens qui comptent, mais là aussi, indépendance de la justice, le fait que ce soit des mères importent). un expert psychiatre a « postulé » selon son mot que ma mère était dépressive, sans l’examiner, violant ainsi le serment d’hippocrate. je suis selon lui identifié à ma mère et je veux, selon lui, réparer ma mère postulée dépressive en rendant la mère de mes enfants dépressive et en faisant le père et la mère auprès de nos enfants. je vole le rôle de mère à la mère . voilà pourquoi la mère ne mes enfants ne s’en occupe pas, alors qu’elle me traite de macho chaque fois que je lui demande de le faire (je suis obligé lui demander, elle ne le fait pas toute seule). nouveau juge qui accepte toutes les demandes de retard de la mère. deux ans après, il prononce le divorce aux torts partagés, maintient les enfants chez moi. il trouve qu’il n’y a rien d’utile pour décider dans le rapport du psychiatre et nomme une psychologue et une enquêtrice sociale pour voir la situation matérielle de la mère (comme si elle ne pouvait pas le dire elle-même : il fait le dossier d’une des parties, il fait le dossier de la mère ). la psychologue crie pour m’intimider, elle crie devant mes enfants dont elle doit recueillir l’avis ! (ses cris m’envahissent encore). l’enquêtrice se procure on ne sait comment le rapport du psychiatre, en reprend la teneur (ma mère dépressive… etc. jusqu’au vol du rôle de mère à la mère) et le juge dit le contraire de ce qu’il avait dit (il dit : cette thèse est ce qu’il faut pour décider). il ne s’interroge pas sur le fait qu’elle ait volé le document. indépendance de la justice. je fais appel. en appel les juges confirment la décision, malgré les larmes de deux de mes trois enfants, dont les juges avaient demandé l’avis et qui avaient pour avis qu’ils devaient rester avec moi. il y a bien d’autres choses. quand l’enquêtrice sociale va interroger les voisins de mon ex, ceux-ci trouvent que les enfants sont bien élevés, et cela profite à mon ex, alors que la thèse permanente est que c’est moi qui les élève en empêchant leur mère de le faire, avec ma propre mère soi-disant dépressive. indépendance de la justice. le juge de première instance a dit une chose et son contraire trois ou quatre fois. il a été promu. publié dans non classé | laisser un commentaire 14 juillet 2018 attestation (commentaire) cette attestation ne correspond pas à ce que m’en faisait apparaître mon souvenir. tout ce qui est dedans est vrai et important à dire, cela invalide la décision prise au final (selon laquelle j’empêcherais la mère de mes enfants « de jouer son rôle de mère » par identification à ma père postulée dépressive), il est bien clair dans les deux moments de vacances passés avec cette amie commune que si la mère de mes enfants avait voulu y être elle aurait pu, que personne ne l’en empêchait. je voyais cette attestation plus longue et plus complète. tout d’abord, à cette relecture, j’ai été déçu. puis, à la réflexion, je me suis souvenu que c’était moi qui l’avais voulu comme ça. je ne voulais pas de critique de l’attitude de la mère de mes enfants. je ne voulais pas dire du mal d’elle, pour la protection des enfants. d’autre part, la « justice » demande d’attester de faits dont on a été le témoin direct. donc, pas de suppositions des « raisons » qui faisaient que la mère de mes enfants n’étaient pas avec nous et ce couple d’amis chez qui on s’était connus. pas de suppositions sur ces raisons, pas de commentaires. on comprend que s’il y avait des raisons de force majeure, la citoyenne qui atteste de ces vacances, l’aurait mis parce que c’eut été un fait. mais il n’y avait pas de fait. elle n’était pas là et, vu de mon côté, « c’est comme ça, et tu n’as rien à dire ». donc, je voyais cette attestation plus complète, un récit de vie, faisant état notamment des relations professionnelles que nous avions. en effet, nous avons travaillé à quatre dans la compagnie théâtrale de cette témoin, nous trois et une amie qui s’était déplacée en belgique et qui n’a pas attesté, elle n’avait pas vu la dispute, qui